Pippa Bacca : la mariée qui croyait aux bisounours

Jeune femme (Pippa Bacca) en robe de mariée souriante dans une voiture conduite par un homme turc en tenue traditionnelle, illustration style bande dessinée dramatique.

Présentation

Aujourd’hui je vais te parler d’une femme qui a eu une fin aussi tragique que comique !

Pour te la présenter, en gros, c’est une artiste italienne. Mais artiste moderne hein, on est loin des grands maîtres comme Leonardo da Vinci, Michelangelo Buonarroti ou Raffaello Sanzio. Non non, là on a de l’artiste de merde d’aujourd’hui.

Attends, il faut que je te montre, parce qu’on ne se rend plus compte aujourd’hui d’à quel point on est en décalage avec le réel.

Ça, c’est une des nombreuses beautés pondu par Leonardo da Vinci:


L’Ultima Cena (La Cène), tableau mythique représentant le dernier repas du Christ. Une peinture murale de 4,6m de haut pour 8,8m de large. Je sais pas si tu te rends compte de la taille du dessin ! Le mec il a bossé pendant 3 ans pour faire ce putain de chef d’œuvre.



Maintenant, si on prends Michelangelo Buonarroti:

Il Giudizio Universale (Le jugement dernier). Encore une œuvre ultra populaire, surprenant également par sa taille de 13,7m de haut pour 12,2m de large… Et c’est encore peint sur un mur bordel ! Je sais pas si tu te rend compte de la difficulté de peindre sur une surface fixe aussi énorme ! Et ça a pris plus de 4 ans ! Les types ils étaient tellement déter’ qu’ils ont fait les gros autistes, ils ont passé 4 ans pour peindre un mur alors que les fils de pute d’aujourd’hui ils achète un pot de peinture blanche chez LEROY MERLIN et un compresseur avec pistolet pour bâcler leur merde le plus vite possible !

Et notre ami Raffaello Sanzio dans tout ça ? (putain, plus qu’un et on se fait les tortues ninja)

A disputa do Sacramento (La dispute du Saint Sacrement). Ça lui à pris 2 ans pour peindre cette fresque de 5m de haut pour 7,7m de large (Et tout ça pour expliquer que les protestants sont dans l’erreur, magnifique !).

Bon, tu vois le résultat de ce qu’a produit de plus beau l’Italie : Des œuvres énorme, qui orne des bâtiments encore plus énormes, et qui traverse les siècles. Ces 3 exemples ont 500 ans, mais tout le monde les connait. Voilà l’art à l’italienne, le vrai.

Maintenant laisse moi te présenter ce qu’a produit cette artiste du nouveau monde, le monde moderne et merdique dans lequel nous avons le plaisir de vivre:

Voila, elle prends des photos, et elle les découpe…


Non, non, ce n’est pas un cas exceptionnel, c’est bien là tout son « talent »…

Donc voilà, pour conclure, on a d’un côté une Italie qui nous pond des génies qui ont marqué l’histoire de l’art depuis 5 siècles et qui perdureront encore très longtemps. De l’autre une gonzesse qui fait des ateliers pour les maternelles et qui appel ça de l’art.

Le départ

Pippa Bacca, donc cette artiste italienne perchée comme un pigeon de cathédrale. Elle enfile une robe de mariée, symbole chrétien de pureté, d’engagement, de fidélité — et décide de la traîner de Milan à Jérusalem, en auto-stop. Pourquoi ? Pour répandre l’amour. Pour montrer que les peuples sont frères. Pour prouver que la paix est possible quand on s’ouvre à l’autre.

Elle voulait unir les civilisations avec un sourire et un bout de tissus.
Elle a fini violée et étranglée, dès le premier pays musulman de son trajet.

L’idée de départ avait ce petit goût sucré de l’art contemporain : une performance humaniste, féministe, pacifique. Tu connais la rengaine : la femme blanche occidentale qui désacralise tout ce qui a fait de l’Europe la puissance qu’elle a été, qui enfile sa robe blanche, qui tend les bras au monde pour mieux s’offrir à lui. Pas comme une pute — non. Comme une vierge. Une sainte. Une utopie ambulante. Et bah ça a pas raté !

Mais l’utopie, elle s’est fait péter la gueule sur le bitume turc.
Parce que dans le réel, la virginité ne protège pas. L’amour non plus. Ce qui protège, c’est la police, c’est ton voisin Dédé le facho, ce paysan prêt à venir mettre des patates de gorille s’il voit une fille se faire agresser. Tout ce que tu détestes, c’est ça qui te protège connasse.

Pippa croyait que la bonté universelle existait. Que le viol était une erreur culturelle des immigrés déboussolés d’avoir quitté leurs pays, pas une saloperie humaine. Elle voulait prouver que même les pays en guerre de merde, les “autres”, les orientaux, les hommes qu’on dit violents, pouvaient être tendres si on les regardait avec les bons yeux.

Elle est tombée sur un gros turc qui avait passé une salle journée. Un qu’avait rien lu de Foucault ni de Derrida. Il ne déconstruisait pas le patriarcat, il lapidait des femmes. Il l’a attrapé. Il l’a tisonné. Il l’a tuée.

Non parce que dans ma tête, c’est ça un turc.

Mais putain mais regarde moi cette tête, à quel moment de ta vie tu te dit que c’est une bonne idée de monter en voiture avec un type pareil. Même moi en tant qu’homme je ne serais pas tranquille, mais alors une gonzesse de 50kg, il faut vraiment n’avoir aucune notion du danger pour y aller gaiement…

Alors maintenant il faut dire les choses comme elles sont : cette histoire, c’est le conte de fées de la gauche culturelle qui finit dans un fossé.
C’est le symbole d’une époque qui veut croire que le monde est gentil si on l’est assez nous-mêmes. Çà ce passe en France aussi, tous les jours, avec vos putain de bougies et vos « pas d’amalgame » de merde.

Mais bordel, depuis quand on traverse des zones instables en robe blanche comme une offrande, sans aucune prudence ? Depuis quand on se fait de l’auto-stop en Turquie comme on prend un taxi à Rome ?

[ Mais putain mais les wokistes, vous vivez sur quelle planète bordel? Vous n’avez pas d’yeux ? pas de cerveau pour interpréter ce que vous voyez et ce que vous entendez ? Quand un peuple vous dit « pendez des blancs », vous applaudissez alors qu’on parle de vous tas de cons ! ]

Depuis qu’on a remplacé la foi en Dieu par la foi en l’humain.
Et que l’humain, sans Dieu, ça peut devenir 2 choses : Soit un putain de prédateur pour ceux qui ont de la testo, soit une putain de serpillère à foutre pour le reste.
Dieu il est là pour t’élever si t’es une serpillère, et pour calmer tes ardeurs si t’as un trop plein d’énergie. C’est lui l’équilibre de la vie, à commencer par le tienne.

Elle ne l’a pas voulu. Mais elle l’a laissé quand même :
Le message, c’est pas « aimez-vous les uns les autres ».
Le message, c’est : « ouvrez trop grand vos bras, on vous pètera la nuque » (après avoir ouvert vos cuisses).
Croyez trop fort en l’autre, vous finirez dans le caniveau.

Pippa n’était pas mauvaise (Artistiquement si, mais je parle là de foncièrement mauvaise ndlr). Elle était juste idiote, le crâne lobotomisé par toutes ces conneries modernistes.
Mais la sincérité ne sauve personne. Ce qui sauve, c’est la lucidité. La prudence. La tradition. L’ordre.
Et surtout, Dieu.
Tout ce qu’elle avait foutu à la poubelle pour croire à son rêve pastel de pédale.


Ce « FROM – TO » d’une violence sans nom…

Et pour la blague, elle est descendante de famille de patriciens romain. C’est à dire que quand les légionnaires romain, avec leurs armures plaqués or, allaient péter la gueule aux tribus oghouzes ; les rescapés finissaient chez ces mêmes patriciens pour vider les latrines ou nettoyer les marbres.


Voici donc la fin de cette brève histoire. Morte à 33 ans pour absolument rien prouver, après n’avoir absolument rien fait de transcendant dans sa vie. Quel gachis…