
Bourrage de crâne républicain
On nous répète que tous les hommes sont égaux.
Bon OK, mais là on est entre nous. Il est temps d’ouvrir les yeux : C’est de la merde cette histoire.
Dès la naissance, tu peux naître dans un foyer heureux, malheureux, riche, pauvre, dans tel pays ou tel autre. Et tu vas pas me dire qu’un enfant qui nait au fond du Burundi a la même chance qu’un enfant qui naît tranquillement dans une famille aisée aux USA.
Donc, la vraie égalité ne peut pas exister. C’est juste logique.
L’égalité c’est juste un mensonge utile — un idéal politique pour empêcher les puissants d’écraser les faibles.
Mais quand des enculé de politicien te le reformule à leurs sauce, criant à qui veut bien l’entendre que les hommes ont le droit à l’égalité, ça devient une arme contre la justice. Et ça, c’est pas bon !
Aristote l’avait vu venir
Aristote, 4 siècles avant Jésus disait déjà :
“il n’y a pas de pire injustice que de traiter également des choses inégales”
Et il avait raison l’ancien ! Moi ça me rend dingue que des mecs qui ont vécu il y a 2500 ans connaissaient des vérités alors qu’aujourd’hui nos soi-disant élites font semblant de ne pas le comprendre !
La justice, c’est l’art de mesurer ; l’égalité, c’est la paresse de ne plus juger.
La justice regarde les actes, les intentions, le mérite.
L’égalité, elle, aligne, gomme, simplifie.
Elle fait des distinctions morales un crime de lèse-modernité. Comme-si le père de famille qui se tape 50h de travail par semaine (pour remplir les fouilles des politicards), qui s’endort au volant et cause un accident, il devait être jugé avec la même sévérité que le « non solvable » qui fait un délit de fuite et cause un accident.
Des exemples pour te faire comprendre
Punir de la même façon un voyou récidiviste et un père de famille qui se défend.
Égalité : oui.
Justice : non.
Traiter avec la même indulgence celui qui bosse et celui qui triche.
Égalité : oui.
Justice : non.
Offrir une prime seulement à ceux qui ont le plus travaillé au lieu de tous.
Égalité : non.
Justice : oui.
Protéger autant les droits du criminel que ceux de la victime.
Égalité : oui.
Justice : non.
Donner la même valeur à l’effort et à la paresse.
Égalité : oui.
Justice : non.
Taxer davantage celui qui abuse du système social que celui qui y contribue allègrement sans broncher.
Égalité : non.
Justice : oui.
Que nous disaient les anciens ?
Montesquieu, Tocqueville, Nietzsche… chacun à sa manière a vu venir le poison.
Montesquieu rappelait que “La liberté est le droit de faire tout ce que les lois permettent” : autrement dit, sans cadre, la liberté n’est qu’une permission du chaos.
Tocqueville, lui, avait déjà prévu le monde d’aujourd’hui :
“Ils veulent l’égalité dans la liberté et, s’ils ne peuvent l’obtenir, ils la veulent encore dans l’esclavage.”
Et Nietzsche, avec sa grande gueule, observait la morale moderne s’effondrer sous le poids de la pitié :
“La pitié pour les faibles a tué la grandeur.”
C’est ce que nous vivons actuellement !
Une époque qui hait la hiérarchie parce qu’elle hait les responsabilités :
-> Mireille qui glisse sur une feuille de salade à GRAND FRAIS : elle porte plainte contre l’enseigne ! Mais putain mais regarde où tu marches ! C’est pas de la faute de l’enseigne si t’es trop conne pour regarder où tu mets les pieds bordel ! Tu tombes dans la rue, tu vas porter plainte contre la DDE parce que le trottoir n’est pas assez plat pour toi ?
Une époque qui confond la justice avec la tolérance.
->Les putains de bougies et les pas d’amalgames ! Ça aussi ça commence à me fatiguer !
Une époque qui préfère le confort matériel à la noblesse morale .
-> Le problème c’est les gens qui ont assez d’argent pour pouvoir s’acheter plein de conneries, mais pas assez pour envoyer chier tout le monde. Ces enculés sont prêts à tout pour continuer à grappiller tout le pognon qu’ils peuvent. Tu sais, c’est comme cette influenceur qui, une fois qu’il a un peu de notoriété, commence à faire de la pub pour tout et rien, aller à la télé pour dire absolument n’importe quoi, tant qu’il est payé pour. Tant que ça rapporte du fric ! Le fric ! LE FRIC !
Vous me fatiguez avec votre course à l’argent sérieux ! Ça ne vous sauvera pas et ça vous rend aussi pitoyable que mesquin.
L’égalité flatte la masse (idiote), la justice sauve la civilisation (valable)
L’égalité, c’est le sommeil des consciences : elle dispense de réfléchir, de trancher ou de choisir.
La justice, elle, demande du courage : le courage de dire non. Le courage d’assumer qu’un homme en vaut parfois plus qu’un autre. Et oui, c’est pas beau à dire. Mais c’est vrai !
L’égalité fait du monde une garderie remplie de fils de pute.
La justice, encense le brave et le méritant.
Et il faut être aveugle ou lâche pour ne pas voir que les civilisations meurent toujours du premier, jamais du second.
Bien qu’historiquement, il n’y a pas de société qui se soit effondrée uniquement parce qu’elle cherchait l’égalité (les effondrements viennent toujours d’un faisceau de causes : économiques, militaires, morales, institutionnelles).
Mais on peut repérer plusieurs moments où une obsession de l’égalitarisme a désarmé une civilisation, en sapant sa cohésion et sa capacité à distinguer le mérite du vice.
Tu veux des exemples concrets ?
Athènes, Ve siècle av. J.-C.
Après les réformes démocratiques de Clisthène et de Périclès, Athènes atteint un sommet de liberté civique.
Mais à force d’égaliser la parole, on finit par croire que toutes les opinions se valent. Comme en France aujourd’hui.
Tu sais pas pourquoi, mais tout le monde a le droit à la parole. Et t’inquiète que tout ceux qui n’ont absolument rien d’utile à dire ouvrent quand même leurs grandes gueules.
La démagogie remplace la raison ; les tribuns flattent le peuple pour gagner ses votes (Vendeurs de rêves, comme nos présidents tiens !).
Quand vient la guerre du Péloponnèse, la cité, minée par ses querelles internes et son goût de l’aisance, s’effondre face à Sparte. Parce qu’à Sparte, c’était pas des freluquets aux cheveux bleus qui dirigeaient le pays, c’était les mecs qui partaient s’y filer sur les champs de bataille.
Thucydide (historien et stratège grec, auteur de La Guerre du Péloponnèse ndlr) résume d’une phrase :
« Ce n’était plus la cité qui jugeait, c’était la foule. »
Comme aujourd’hui, c’est l’opinion des masses qui dirige. Pour ne pas faire de vague, tous les lâches rentrent dans le moule. Quitte à se parjurer, à trahir et faire preuve d’injustice.

La Rome impériale
L’Empire, au départ, repose sur une hiérarchie stricte : le citoyen romain a des devoirs, mais aussi un rang, une discipline.
Au fil des siècles, la citoyenneté est étendue à tous, les privilèges se multiplient, la rigueur disparaît.
Comme… je sais pas, la nationalité française peut-être ?
L’égalité juridique progresse, mais la vertu civique s’effondre : plus personne ne veut servir, défendre ou payer.
On distribue du pain et des jeux (Netflix et ton cassoulet en boîte à 1,5€ quoi), on promet le confort à tous, et l’Empire s’éteint dans l’indifférence.
Ce n’est pas la conquête des gros barbares qui tue Rome : c’est la perte du sens du mérite qui a conduit à son affaiblissement.

La Révolution française
La chute de l’Ancien Régime portait une aspiration légitime à la justice ; mais la Terreur transforme l’égalité en fanatisme.
On coupe les têtes “par principe”, on détruit les élites, on réduit la société à une masse indistincte. Au final tous ceux qui avaient des trucs intéressant à dire, on les décapite. Comme ça, quand il ne reste plus que les clochards édentés, on arrive à se comprendre dans ce bordel.
L’égalité absolue devient un instrument de contrôle ; la liberté s’évapore.
Robespierre voulait une république vertueuse ; il obtint un cimetière. Tellement qu’il s’est fait prendre à son propre jeu ce con !
Et quand on voit où ça nous a amenés aujourd’hui, vraiment ça en valait la peine les gars…

Le communisme du XXᵉ siècle
L’URSS, la Chine maoïste, le Cambodge de Pol Pot : partout où l’égalité totale fut érigée en dogme, le résultat fut le même :
Suppression du mérite, annihilation de la liberté, nivellement par la terreur.
On a tué les propriétaires, les professeurs, les prêtres — au nom de l’égalité.
Et partout, ça s’est soldé par la misère, la peur et la ruine morale.
Oui parce que la gauche a beau cracher sur la droite en les comparant avec les nazis, au final les régimes communistes ont assassinés bien plus de monde (6 millions de juifs assassinés par les nazis, près de 80 millions de personnes assassinées pour les 3 régimes communistes cités plus haut).
Il n’y en a pas un mieux que l’autre, je le répète, vous êtes tous des enfoirés
L’Occident contemporain
Nous n’en sommes pas encore à l’effondrement, mais la fissure court, depuis longtemps déjà, sous nos pieds.
L’égalité, c’est devenue idole (et oui, ce n’est plus notre clau-clau !) qui agit comme un somnifère : elle endort les consciences sous prétexte de bonté.
On ne juge plus rien de façon juste, de peur d’avoir l’air dur (fachosphère, tout-ça tout-ça); on excuse tout (vous n’aurez pas ma haine !), de peur d’être accusé d’intolérance. Aujourd’hui le moindre discours qui déborderait à peine d’un poil de la ligne de la mouvance progressiste se fait tout de suite attraper par tous les médias, personnalités et politiques. « Racisme », « Antisémitisme », « Homophobie », « Grossophobie », « Transphobie », et toutes les putaphobies présente (ou a paraître) dans le dictionnaire sont sorties comme une levée de boucliers pour condamner l’auteur du discours.
En gros, si tu ne penses pas comme tout le monde, ferme ta gueule, sous peine de sanctions. Voilà la liberté d’expression d’aujourd’hui.
La compassion a remplacé le discernement, et la tolérance s’est muée en démission total du bon sens.
À force de prétendre que toutes les valeurs se valent, nous avons cessé de défendre celles qui en valait la peine. L’honneur, la fidélité, l’honnêteté… de lointain souvenir, que vous retrouverez dans les histoires de vos aïeux (si vous n’êtes pas descendant de parisien bien sur).
La société n’avance plus — elle flotte, molle comme les abdos de Flamby, sans axe, sans verticalité.
Une civilisation sans hiérarchie morale, c’est un corps sans squelette : il ne tombe pas d’un coup, il s’affaisse lentement. Et finit en gros tas de merde.

L’illusion du suffrage universel
Le suffrage universel : belle idée… sur le papier
Alors là, il y en aurait des choses à dire à ce sujet. On nous a appris que le suffrage universel était le sommet de la justice politique.
Mais comment peut-on encore croire qu’il soit juste de donner le même poids à toutes les consciences, comme si le savoir, la responsabilité et la vertu se distribuaient par miracle dans chaque crâne ?
Comment voulez-vous qu’un pays soit fonctionnel en ayant le fonctionnement actuel ?
Non mais vraiment, je pose la question. Personnellement ça fait 20 ans que je ne vote plus, parce que j’ai bien compris l’arnaque.
Le problème : toutes les voix ne se valent pas (et tu le sais très bien)
Question sérieuse : Quand tu donnes la même valeur au vote d’un chômeur célibataire, d’un patron du CAC40, d’un ouvrier père de famille, d’un paysan dans sa ferme familiale, d’un repris de justice, d’un dealer de drogue etc, etc.
Tu ne vas pas me faire croire que toutes ces personnes, si différentes soit-elles, ont en tête le même objectif : L’élévation de la nation.
Non. C’est un fait. Les seuls qui pourraient être intéressés par ce sujet (et encore ce n’est pas tous, loin de là) c’est les classe moyenne et les gens du terroir. Qui ont un amour pour la France.
Les très riches veulent que s’enrichir encore plus en payant le moins possible de taxes.
Les chômeurs de métiers veulent surtout continuer à pouvoir glander 6 à 8 mois par an et continuer de toucher leurs aides sociales.
Les voyous, dealer, criminel et autres pédophiles ne veulent surtout pas que le budget de l’état se gaspille dans les forces de l’ordres.
Les paysans voudraient juste pouvoir vivre de leur travail.
La réduction à l’absurde : personne n’ose la faire, moi si
Ok, réduction par l’absurde :
Demain, 60% de la population est criminelle. Élection présidentielle, on va voter pour un mec qui va faire du bien au pays en balayant tout ce petit monde, ou alors c’est l’enculé qui laissera faire qui sera élu ?
Demain, 60% de la population est chômage volontaire. Élection présidentielle, on va voter pour le mec qui les enverra au boulot à coup de pied au cul, ou alors c’est celui qui augmentera les aides sociales qui sera élu ?
Vous voyez bien que c’est juste pas possible. Il y a trop de personnes qui ne devraient pas avoir le droit de donner leur avis. Mais le soucis avec cette démocratie de merde, c’est qu’on leur demande leur putain d’avis à tous ces tocards !
Résultat : ce n’est pas le coeur de la Nation qui vote, c’est la masse molle
Voter n’est plus un acte civique : c’est un réflexe pavlovien, un clic de confort.
L’homme qui travaille, qui s’informe, qui élève des enfants, qui paie, qui protège, a la même voix que celui qui ne fait rien, ne sait rien, ne veut rien. C’est injuste et inadmissible.
On appelle cela l’égalité. Moi j’y vois une injure à la justice. C’est une aberration totale.
La démocratie moderne s’est crue vertueuse en abolissant toute hiérarchie du mérite.
Elle s’est simplement rendue vulnérable aux marchands de promesses et aux marionnettes médiatiques. Quand tu vois comment tous ces idiots se font lobotomiser le cerveau par les médias, ils font faire ce qu’ils veulent à la masse tellement les mecs sont éteints.
Il ne faut pas oublier que lorsqu’un peuple ne distingue plus la valeur de ses voix, ce ne sont plus les meilleurs qui gouvernent, mais les plus habiles à flatter la foule. On en a le parfait exemple depuis bientôt 10 ans.
L’égalité, c’est le nivellement par le bas. On ne peut pas faire d’un âne un cheval de course ? Qu’à cela ne tienne, faisons du cheval de course un âne et le monde sera équitable.
Que nous apprends l’histoire à ce sujet ?
La Première République française (1792-1799)
Au départ, seuls les citoyens actifs votaient :
- Hommes,
- de plus de 25 ans,
- payant un impôt (le “cens”),
- et considérés comme capables d’exercer une fonction civique.
Les pauvres, les domestiques, les femmes et les “passifs” (les chômeurs quoi) étaient exclus.
L’idée, c’était que voter exigeait de participer à la nation — par le travail, l’impôt ou le service. C’est la base.
La Révolution de 1793 avait brièvement proclamé le suffrage universel masculin, mais il n’a pratiquement jamais été appliqué, à cause de la guerre et de la Terreur.
Les premières Républiques américaines
Même principe, mais avec le racisme américain en avant-première !
Le suffrage était réservé aux hommes blancs propriétaires.
Pas de propriété, pas de vote.
Là encore, on considérait qu’il fallait avoir quelque chose à perdre pour voter avec prudence.
L’idée de “chaque homme une voix” n’est arrivée que bien plus tard, au XIXᵉ siècle.
Les Républiques européennes du XIXᵉ siècle
Partout, le modèle fut censitaire :
Voter exigeait un revenu minimum, une instruction, parfois un service militaire accompli.
Le suffrage universel masculin ne s’impose réellement en Europe qu’après 1848 — et il faut attendre 1944 en France pour que les femmes votent. Et donc, depuis 1944 la France… Non ! je ne dirais rien…
Le choix
Alors, oui : nous devons choisir.
Et moi je suis le genre de mec qui n’accorderais pas le même salaire, les mêmes primes, même pas les mêmes pauses à 2 personnes qui ont le même poste. Parce que personne ne produit exactement le même travail, ni en qualité ni en quantité. Alors pourquoi avoir le droit aux mêmes récompense ?
c’est injuste.

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